Ce matin, départ à 8h, il y a 460 kms à parcourir pour rejoindre Khiva, qui va bien, qui va mal; non Khiva tout simplement. Urgence d'abord, baignade avant de partir, puis arrêt pour observer le chargement de melons. Ces petits véhicules (super Chevrolet), nous font penser à la 2cv des années 60, encore plus utilitaires (9 à 10 personnes dedans, plein de pastèques, melons…) Nous avons rencontré une dizaine de camions dans la journée.

Agriculture à deux vitesses? Ci et là, des ânes, des vaches attachées en bord de route, une jeune femme avec la poussette attend le laitier avec son bidon, un gros tracteur articulé prépare le sol après les céréales:

Il nous faut trois heures pour les 90 premiers kms, "c'est pas de la tarte" va t on tout retrouver entier dans les placards?

Puis la route s'améliore nettement en avançant dans le désert de Kizil Kum, l'activité autour du Gaz, de l'or et du calcaire aurait elle des intéressés? Ce sont des Coréens et des Allemands qui ont participés à la construction de ces 260 kms de route.

Arrêt photo:

Puis pause déjeuner:

En repartant, nous longeons la frontière du Turkménistan:

Puis, en approchant de Ourguentch, la rivière Amou-Daria signale sa présence; nous quittons le désert pour entrer dans l'Oasis:

Nous traversons la rivière et les canaux tous les tois à quatre kms, le coton refait son apparition:

Puis, nous voici à Khiva pour deux nuits, Khiva , située au nord-ouest de ce pays dans une oasis à 469 kilomètres de Boukhara.

Nous sommes auprès de la vieille ville que nous visiterons demain, en attendant le coucher de soleil, Anne Marie revisite la toiture de Jean Paul (C'est pour Olga qui demande si mamie travaille un peu; elle a conduit ses 460 km avec 150 pas faciles; mais cela n'y paraît plus, elle est jeune!).